Aingeray

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Aingeray
Aingeray
Mairie.
Blason de Aingeray
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
André Fontaine
2020-2026
Code postal 54460
Code commune 54007
Démographie
Gentilé Aingerois / les Cohés
Population
municipale
537 hab. (2021 en diminution de 3,76 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 23″ nord, 6° 00′ 09″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 289 m
Superficie 12,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Aingeray est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, village de Lorraine en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Fig 1 - Aingeray (ban communal).

D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 1 291 hectares comprend en 2011, plus de 38 % de terres arables et de prairies, 38 % de forêt et près de 7% de surfaces en eau, 10 % de surfaces agricoles diverses et près de 6 % de zones industrielles et urbanisées[1]. Le bourg à l'aspect typique des villages-rue de lorraine.

Le territoire est arrosé par la Moselle[2] et son canal à grand gabarit sur environ 4 800 m. L'altitude moyenne d'Aingeray est de 241 mètres environ. Un exemple de relief géologique dit synclinal peut être observé à Aingeray[3]

La commune est desservie par la route départementale no 90, venant de la vallée de la Moselle à Liverdun, allant vers Toul via Fontenoy-sur-Moselle et Gondreville. Les sources historiques et archéologiques mentionnent d'anciens chemins[4] reliant Liverdun et Toul, via Sexey-les bois dont certains diverticules desservaient les lieux-dits Vieil Aingeray et Bois de Namplain.

Le lieu-dit Voirémont est connu pour abriter un exemple de pelouse calcaire riche en spécimens de biodiversité intéressants[5].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Les lieux-dits Val Toussaint et Malzey apparaissent à de nombreuses reprises dans les chroniques historiques et archéologiques de la région.

Aingeray en 1888, B.M. de Nancy.

Le toponymes Fourneaux et Banal pourraient indiquer la présence ancienne d'installations communales partagées comme un four, un moulin (Fig 1).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 819 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 17 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aingeray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,8 %), terres arables (27,7 %), prairies (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), eaux continentales[Note 4] (6,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %), zones urbanisées (1,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme apparaît sous la forme latine Angeriacum villa en 922/962, Angeriacum en 974 et 1050, puis Angeliaco en 965. La forme française "Angerei" apparaît dès 1262/1263 ; l'on a Engerey en 1492, Angerey en 1516, Angeray en 1594, Aingery en 1719 ; la graphie actuelle n'apparaît qu'en 1862. L'on trouve en outre la précision Aingerey-lez-Gondreville en 1565[19].

Le nom est composé de l'anthroponyme germanique Anghari et du suffixe gallo-romain -iacum : domaine d'Angar. Ce type de formation, issu du jargon de l'administration fiscale, est typique de l'Antiquité tardive (IVe siècle-VIIe siècle)[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Bifaces (Cne d'Aingeray - Musée de Toul).

Le journal de la société d'archéologie lorraine cité par Jules Beaupré dans son répertoire archéologique[21] mentionne la découverte d’artefacts de la période de l'âge de pierre sur le plateau dominant le village.

Antiquité[modifier | modifier le code]

H Lepage cite le Révérend Père Benoît Picart qui au XVIIIe siècle rend compte de découvertes sur le territoire de la commune située à une lieue un tiers à l'est de Toul[22]. :

« Camp d'une étendue assez considérable suivant le P(ère). Picart, il était fortifié de murailles et de tours qui paraissaient encore, de son temps, en plusieurs endroits au-dessus de terre. Les médailles antiques qu'on y a trouvées en fouillant le sol, font conjecturer, dit-il, que c'est un ouvrage que l'on peut attribuer aux Gaulois ou aux Romains »

On faisait donc remonter cet établissement à la période du Haut-Empire romain ou à l’Époque de l'indépendance du territoire celte de Gaule, mais Beaupré conteste le caractère de camp fortifié de ce site et y voit plutôt une structure agraire :

« Il existe dans le bois de Namplain des amoncellements de pierres brutes, formant enceintes, et quelques tumuli. Nous en avons fouillé, M. Bleicher et moi, un certain nombre en 1895, mais sans succès. Ces lignes de pierres s'étendent dans toute la forêt, et offrent la plus grande analogie avec l'ouvrage du même genre situé dans les bois d'Allain. Bien que ce travail ne présente aucun caractère militaire, c'est sans doute lui que Benoît Picard avait en vue quand il parle « d'un camp fortifié de murs et de tours, entre Aingeray et Sexey ».

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le revenu du village d'Aingeray, dont dépendait Molzey, fut donné par Pépin à Bornon, en 794, engagé ensuite aux comtes de Chaumontois, puis retiré par saint Gérard, qui la donna aux religieux de Saint-Mansuy[23].

L'érudit Olry, ancien instituteur d'Allain précise :

« Au Vaux Toussaint entre Aingeray et Fontenoy, ruines d'un hameau appelé « le Vieil Aingeray », découverte sur ce lieu d'un grand nombre d'objets, dont des tuiles plates à rebords. À l'orient et à deux km d'Aingeray, vestiges du hameau de Molzey, (Molisiacus, Malzey ou Marley), détruit, d'abord au XVIIe siècle, temporairement habité par quelques familles puis définitivement abandonné. Dans la même direction, vestiges d'un château, maison seigneuriale du XVe siècle et du XVIe siècle. »

Aingeray aurait donc été formé de la réunion de plusieurs hameaux, toutefois la genèse et l'histoire de ces installations reste encore un peu obscure, comme l'explique une série d'articles de la revue Études touloises[24] consacrés à ce village.

L'existence d'une ferme mérovingienne est certaine. En effet, E Salin cite la découverte de sépultures barbares aux lieux-dits Au vieil Aingeray (Fig1) et à la Vaux Toussaint en 1873[25].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Graves dommages au cours de la Seconde Guerre mondiale.[réf. nécessaire]

Anecdotes[modifier | modifier le code]

Pour actes de sorcellerie, trois personnes furent exécutées, une femme nommée Claudon Oudenot et un pâtre Nicolas Gengoulphe en 1608 et une autre femme Méline, veuve de Nicolas Gérard, en 1615.[réf. nécessaire]

En 1630, la peste régnait aux environs de Nancy et dans les environs. La peste sévit aussi durant six mois à Aingeray (et probablement à Malzey) et y fit mourir 32 personnes[26].

Comme d'autres villages de Lorraine et du Toulois, Aingeray a été le lieu de la manifestation de la présence du loup et plusieurs récits le mettant en scène aux prises avec l'homme ont été exposées par M. Hachet dans un article de la revue Études touloises[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1489   PARISET (Le drapier)[28] ou PARISOT   mayeur
    Gérard THOUVENOT   mayeur boulanger / hôtelier
en 1668   François Bonnet[29]   mayeur
Vers 1676   Claude (Claudin) FRANÇOIS    
Vers 1715 Vers 1722 Nicolas FRANÇOIS    
1789   François François    
1792   Charles Hachet    
avant 1802 environ 1820 François Pierson    
1871   François Thomas Depardieu    
avant 1911   Mansuy    
avant 1981 ? Michel Laramée PS  
1983 1989 René Juliac    
2001 En cours André Fontaine    
Les données manquantes sont à compléter.

Note : François François était le maire également de Malzey

Liste des curés[modifier | modifier le code]

Liste des curés
Période Identité
avant 1728 - Jean Joseph LIEGAULT
en 1728 - A CHAMOY
avant 1792 - LORRAIN
après 1792 - Nicolas AUBRY
1824 - 1831 François DROUIN
-

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 537 habitants[Note 5], en diminution de 3,76 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
365365383399446429440480690
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
518482488484466466461405382
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
364441520657451414321370389
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
397398417585638607600559560
2019 2021 - - - - - - -
520537-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et faiblement viticole, au XIXe siècle :

« Surf. territ. : 665 hect. en terres lab., 73 en prés, 27 en vignes, 240 en bois. Un hectare semé en blé peut rapporter 12 hectolitres 50 litres, en orge 12, en seigle 10, en avoine 45. On y élève principalement des chevaux »[34],[35].

Secteur primaire ou Agriculture[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[36]), la commune d' Aingeray était majoritairement orientée[Note 6] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 7] d'environ 600 hectares (égale à la surface cultivable communale) en augmentation depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est maintenu autour de 595 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 7 (6 en 1988) exploitation(s) agricole(s) ayant leur siège dans la commune employant 11 unité(s) de travail[Note 8], (jusqu'à 13 auparavant) : l'activité agricole avait résisté.

Secteur secondaire ou Industrie[modifier | modifier le code]

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ruines fortifiées au lieu-dit Haut-du-Château.(Fig1)

" Maison seigneuriale du XVe siècle ou du XVIe siècle appartenant à M. Depardieu ; à l'extérieur, fenêtres à meneaux et portes à linteau ornementé ; à l'intérieur, cheminée curieuse, couronnée de petits créneaux ; dans les caves, anciennes prisons, et fond de fosse ".

Texte de Étienne Olry dans le Répertoire archéologique de l'arrondissement de Toul (1871).

Elle était la résidence du maire ayant un rôle judiciaire, elle perdit cette fonction par les décrets de 1790 portant sur la création des cantons et de la justice de paix installée à Fontenoy-sur-Moselle jusqu'en 1800. La cave de la prison a été comblée vers 1984 par Bernard Depardieu, propriétaire des lieux.

Une fourche patibulaire et son échelle étaient dressées en place publique pour l'exécution par pendaison des condamnés à mort et la population devait assistance au bourreau dans son œuvre[37].

  • Une écluse et un barrage de la Moselle canalisée sont situés sur le territoire de la commune.(Fig1)

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Aingeray Blason
D'azur à un cheval cabré d'argent, au chef cousu de gueules* chargé d'un soleil d'or, à deux crosses, l'une d'or et l'autre d'argent, passées en sautoir et brochant sur le tout.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur.
Adopté en 1978.

Édifice religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Médard détruite en 1944 et reconstruite.
  • Le retable en pierre de dimensions 0,90 m par 2 m et du datant du début du XVIe siècle, il provient de la chapelle de Malzey (ermitage Saint-Jean). Propriété de la commune, il est classé en 1908 aux " Monuments Historiques" sous le n° PM54000004[38]. Encastré dans le mur, il se compose de six niches placées de front, accolées les unes aux autres et séparées la 3e et la 4e par une niche centrale plus importante. Chacune de ces petites niches est couronnée d'un dais et abrite deux statuettes (en tout douze, figurant les apôtres) ; la niche principale est occupée par trois personnages : le Père éternel, une femme agenouillée et un ange.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Victor Riston, Le Retable de l'église d'Aingeray, 10 pages (dont 2 planches) non reliées, 1892
  • Au musée de Toul : le musée offre un abri à une délicate Vierge à l´Enfant - Michel HACHET[39]
  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  7. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  8. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  2. « La moselle [A---0060] - Cours d'eau », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  3. « Le synclinal d'Aingeray - Activités réalisables », sur www4.ac-nancy-metz.fr (consulté le ).
  4. https://www.etudes-touloises.fr/archives/25/art1.pdf À propos du "pont romain" de Liverdun : Recherches sur le réseau routier ancien à l'Est de Toul - Carte P 5 Madame ARNOULD-ROMBACH, Collège de Liverdun
  5. « Pelouse calcaire - Tourisme/ loisirs - Accueil - Mairie de Aingeray », sur aingeray.mairie54.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Aingeray et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, , 240 p. (lire en ligne).
  20. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
  21. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 10-11.
  22. « Gallica - », sur visualiseur.bnf.fr (consulté le ) : « Type :PERIODIQUE Auteur :Société d'archéologie lorraine Titre(s) :Mémoires de la Société d'archéologie lorraine Publication :A. Lepage (Nancy) Cote : NUMM-33691 ».
  23. P. Benoît capucin , Hist. de Toul, p. 280.
  24. « Ville, village, lieu-dit A », sur etudes-touloises.fr (consulté le ) : « Aingeray à rebours : le village Madame ARNOULD-ROMBACH et ses élèves du collège de Liverdun ».
  25. Édouard Salin, « Caractères généraux, nomenclature et carte archéologique des cimetières du haut moyen âge du département de Meurthe-et-Moselle », Bulletin Monumental, vol. 96, no 2,‎ , p. 209 (DOI 10.3406/bulmo.1937.8528, lire en ligne, consulté le ).
  26. Bulletin de Société de géographie de l'Est (1894), page 8.
  27. https://www.etudes-touloises.fr/archives/6/art3.pdf
  28. https://www.etudes-touloises.fr/autres/inedits/Aingeray_bibliographie.pdf
  29. Acte notarié n°3E3443 pour le mariage de son fils Claude le 21 mai 1668-Recherches de Robert Depardieu
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Grosse, E., Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique ..., Nabu Press, (ISBN 1-278-24895-1 et 978-1-278-24895-0, OCLC 936241814, lire en ligne).
  35. Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative / publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 9.
  36. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  37. Essai historique sur les institutions judiciaires des duchés de Lorraine et de Bar avant les réformes de Léopold Ier, page 53, thèse pour le doctorat en droit par Charles Sadoul.
  38. Notice no PM54000004, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  39. « 2013 », sur etudes-touloises.fr (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Aingeray », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr